B.L.-J, avec Marie Ruggeri [dernière strophe];
arrangem. Eric Page
Tous les azulejos de Carthagène et de Lisbonne,
figurent des combats de généraux et gentilhommes
Sous les colères souveraines
les corps s’épuisent,
les seigneurs saignent
Les yeux des paysans
sous le soleil
s’ouvrent à peine
ils sont chargés de larmes,
de sueurs, d’esclaves indigènes
venant grossir l’eau qui ruisselle de la montagne
jusqu’aux fontaines
Les humeurs assassines
de leurs marquis
et de leurs reines
chargent de sang la terre,
la terre où ils
soufflent leur peine
colorent en rouge-vif
le bleu du ciel
le bleu des céramiques
anciennes...
refrain :
“Coimbra, menina e moça
Rouxino de Bernardim”