Fiction
EN PROJET
LA CAGE DE VERRE - Film de fiction - Scénario
L'idée générale du film :
le scénario est écrit mais je ne l'ai pas mis en ligne; disponible sur demande
Le film parle de désir, de la recherche de l'objet aimé et désiré (en l'occurrence une femme). À ceci près que, contrairement aux films ordinaires, cet objet n'a pas d'existence réelle. Il est fantasmé et, à ce titre, l'objet d'une quête dans la réalité.Dans la première partie du film, sont explorés le ravissement esthétique et les mécanismes du désir.
Mais assez vite, il faut donner un corps et une âme à ce désir et interroger le réel.
Telle est du moins, la logique des protagonistes – deux hommes qui n'ont ni le même âge ni la même personnalité.
Au cours de leurs discussions animées naît un étrange dessein et un véritable plan d'action :
pour contempler l'être désiré en toute jouissance – à la façon d'une œuvre d'art – il n'est d'autre solution que de l'immobiliser... et de le mettre en cage.
D'où l'idée, développée dans la deuxième partie, de concevoir et de construire une cage en verre (en forme de pyramide) pour y faire entrer des statues vivantes. Cette cage aérienne devra être belle et désirable afin que les diverses "candidates" convoquées acceptent de se laisser enfermer, pour quelques minutes, quelques heures, voire quelques jours.
Troisième partie : une fois la cage de verre réalisée (dans les Ateliers de Saint Gobain), on en viendra au casting des préposé(e)s – en chair et en os. Il s'agira de confronter l'image de chacun(e) avec le fantasme qui a précédé sa venue.
Recherche d'adéquation, en somme et confrontation entre idéal et réalité. Quant aux candidates elles- mêmes, il faudra les convaincre; elles ne manqueront pas de poser des questions : entrer, ne pas entrer dans la pyramide ? si oui, pour quoi y faire ? qui acceptera ? qui refusera ? quels arguments de part et d'autre ? qui sera l'élue et pour quelles raison ? De nombreux problèmes surgiront qui enrichiront l'intrigue.
In fine, une femme, inattendue, fera son apparition. Elle acceptera la réclusion et s'y révélera.
Cela est rendu possible notamment grâce à l'intervention de la musique de Robert Schumann (fantasiestücke, op.12, jouée par le principal protagoniste du film) qui propose (et impose en fait) une certaine forme de rédemption par le ravissement esthétique.
Ecouter plutôt cette merveille:
Mais assez vite, il faut donner un corps et une âme à ce désir et interroger le réel.
Telle est du moins, la logique des protagonistes – deux hommes qui n'ont ni le même âge ni la même personnalité.
Au cours de leurs discussions animées naît un étrange dessein et un véritable plan d'action :
pour contempler l'être désiré en toute jouissance – à la façon d'une œuvre d'art – il n'est d'autre solution que de l'immobiliser... et de le mettre en cage.
D'où l'idée, développée dans la deuxième partie, de concevoir et de construire une cage en verre (en forme de pyramide) pour y faire entrer des statues vivantes. Cette cage aérienne devra être belle et désirable afin que les diverses "candidates" convoquées acceptent de se laisser enfermer, pour quelques minutes, quelques heures, voire quelques jours.
Troisième partie : une fois la cage de verre réalisée (dans les Ateliers de Saint Gobain), on en viendra au casting des préposé(e)s – en chair et en os. Il s'agira de confronter l'image de chacun(e) avec le fantasme qui a précédé sa venue.
Recherche d'adéquation, en somme et confrontation entre idéal et réalité. Quant aux candidates elles- mêmes, il faudra les convaincre; elles ne manqueront pas de poser des questions : entrer, ne pas entrer dans la pyramide ? si oui, pour quoi y faire ? qui acceptera ? qui refusera ? quels arguments de part et d'autre ? qui sera l'élue et pour quelles raison ? De nombreux problèmes surgiront qui enrichiront l'intrigue.
In fine, une femme, inattendue, fera son apparition. Elle acceptera la réclusion et s'y révélera.
Cela est rendu possible notamment grâce à l'intervention de la musique de Robert Schumann (fantasiestücke, op.12, jouée par le principal protagoniste du film) qui propose (et impose en fait) une certaine forme de rédemption par le ravissement esthétique.
Ecouter plutôt cette merveille: